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Sexy miss Delphine...
Mon côté libertine aiguisera cette motivation jusqu'au point de non retour.
Je vais être complice et actrice de votre débauche sexuelle pendant cette fabuleuse rencontre éphémère.

les femmes libres de disposer de leur corps comme elles l'entendent

je suis ce qu'on appelle une milf, autrement dit une mère de famille sexuellment attirante doublée d'une cougar, j'aime les hommes plus jeunes que moi.
Ils manquent aprfois d'expérience, certes, mais leur énergie sexuelle compense largement leurs lacunes que d'ailleurs j'emploie à combler avec une perversité non dissimulée.
Et pour couronner le tout j'ai un faible pour les bad boys, en apparence sulement, je les adore tatoués, baraqué avec une barbe de trois jours et si il est motard... .
Et un gars coche toutes les cases, il s'appelle Maxime. Nous nous sommes connus à un meeting de motards. J'ai vite compris que je ne le laissais pas indifférente et le soir même il me ramenait chez moi.
J'aime l'impatiente qui confine à l'instinct.
A paien passée la porte, il m'a plaquée au mur et m'a embrassée tout en glissant sa main sous ma mini-jupe (j'étais en chasse). Il à bataillé avec ma culotte poisseuse, puis a instillé ses doigts dans ma fente, son allant était tel qu'il me soulevait du sol!
La suite ? Une tornade brute, brûlante , un incendie des sens.
Au bord de la jouissance, jambes arquées, yeux révulsés j'ai trouvé la force d'arrêter ce déchainement des éléments et inviter mon jeune partenaire à s'installer dans le salon cosy.
Maxime était nu avant que ses fesses ne touchent le canapé.

Le temps que je m'agenouille, il bandait déja très fort

sabelle queue n'avait rien n 'a envier à sa carrure, un tube drit et épais qu'il masturbait avec lenteur. Mon rictus gourmand en découvrant son beau gourdin tout en me frottant les mains, quelle honte! et bien au diable la honte!
Qu'elle me faisait de l'effet cette queue vigoureuse!
Je me suis enfin approchée de ce bâton délicieux et j'ai mis tout mon savoir faire dans cette fellation . Je prenais sa bite tout entière, ma salive dessinait des filets entre son gland et la commissure de mes lèvres affamées.
Je l'ai alors fixé dans les yeux d'un air de défi. Ce n'était certainement pas les jeunettes qu'il tringlait habituellement dans son lit qui le suçaient ainci!
Je me suis reculée, un de mes mes petits jouets magiques traianit par làn je me suis penchée en arrière, histoire de lui dévoilée ma chatte toute épilée. Et je me suis fait vibrer le clitoris en gemissant.
Mais le gars, impatient voulait m'enfoncer samasculinité au plus vite. J'ai arrêté ma délicieuse exhibition onaniste et je l'ai rejoins sur le clic clac.
Il m'a projettée dessus, j'ai senti les barres metalliques de la structure me morde le dos.
Il s'est tortillé jusqu'à s'allongeren face de moi, il a tordu saqueue et l'a plaquée contre mavulve ouverte. Le gars jouait avec son bout, me taquianat l'orifice, faisant encore monter d'un cran l'intensité de mon orgasme imminent.

Il s'est arrêter d'un coup et s'est planté en moi

Je l'aiaidé avec mes doigts et une fois bien logé dans ma chatte, il ajuste contacté son son périnée en cadence. Aucun va et vient, pas le moidre mouvementde bassin, il se contentait d'augmenter la pression dans son penis.
"Caresse moi" a t il ordonné. J'adore! J'adorequ'un mec soit un mec, qu'il prenne les choses en main et qu'il dirige les opérations.
Je me suis donc exécutée sans broncher, au contraire, je trouvais cela terriblement vicieux et jouissif. La lumière crue qui nous baignait ne laissait rien de moi dans l'ombre. De mes seins bandésà mort au filet de mouille brillant qui coulait sans discontinuer de ma chatte.
Le type m'afait venir ainsi, juste en comprimant sa bite en moi! Bien sûr mesdoigtss'agitant sur mon clitorisn'yontpas été pour ein, mais j'avoue que mon énergie sexuelle était, à cet instant-là, a son paroxysme.
J'étais sûre qu'il allait me vouloir en levrette pauis qu'il allait tenter de me prendre par le petit trou. Rien de ce que je m'attendais est venu.

L'effet de surprise, ça aussi j'aime dans le sexe

Maxime s'est levé et m'a tourné autour. Il a dressé un portrait cru de mon corps, de mes formes, de mon appétit et est arrivé à la conclusion que je devais être punie.
Je me suis raidie, je ne suis pas du tout danle trip "douleur jouissance", mais j'allais changer d'avis car quand un homme comme lui sait fesser une femme, quel pied!
Lui confinait ce génie en la matière. Il m'a installée sur ses genoux comme une gamine qu'on vient d'attaper en flangrand délit. Et il m'a claquée le cul avec une telle maestria que ce dernier s'est mis à chauffer, presque à bruler sans que jamais, je ne ressente la moindre douleur.
juste mon simllon qui n'était plus qu'un cloaque odorant et sonore lorqu'il a commecé à me doigter avec une autorité que ne peut conférer une longue pratique.
Je me suis vu gicler et gicler encore, ma fontaine, qui se déclenchait pour la première fois, ne s'arretait plus.
Il m'a ensuite baisé la bouche, il n'y a pas d'autres mots.
Accroché à ma nuque,ila forcé ma gorge avec son gros caibre et s'est laissé aller à lâcher son foutre tout au fond.
J'ai suffoqué et recraché la moitié sur le tapis, à bout de souffle, ensueur et enthoisiaste de recommencer.
La nuite n'a été qu'un long rodéo ou j'ai inondé mon lit et...finalement, il m'a enfin sodomisée.
Moiaussi, je sias imposer mes désirs lorsque ceux ci sont forts.
Le week end d'après il m'a présentée à son clib de motards, c'est un vivier fantastique! J'ai au moins de la réserve en "mauvais garçons" tous plus mignons les uns que les autres.